Remerciements
1 Depuis l'an 2000, beaucoup de gens ont contribué à la conception et à la construction de Deux visages de L'Astrée. Je remercie Tufts University de m'avoir accordé un précieux support, et d'accueillir ce site. Ma gratitude va particulièrement au Faculty Research Awards Committee, et aux directeurs du Romance Language and Literature Department, surtout à John Fyler et José Antonio Mazzotti.
Un grand merci à Tina Riedel et David Bragg (Information Technology Services), ainsi qu'à Anne Sauer et Robert Chavez (Digital Collections and Archives Department), et à Naomi Marr (Tufts University Relations). J'ai mis leur patience à rude épreuve. Je remercie chaleureusement tous les bibliothécaires passés et présents de Tisch Library, et en particulier Chris Barbour, Chao Chen, AnnMarie Ferraro et Laura Walters. Je remercie également Joanne Phillips (Classics Department), et David Proctor, doctorant, pour les traductions qu'ils m'ont proposées.
J'ai aussi trouvé des conseillers hors de Tufts. Je remercie Mark Olsen (ARTFL Project, University of Chicago), Dr Peter Fuhring (Conseiller scientifique, Fondation Custodia), Jean-Marc Chatelain (Conservateur, Bibliothèque Nationale de France), Marie-Odile Germain (Conservateur, Bibliothèque Nationale de France) et Sylvie Bleton (Chargée de la Reproduction, Bibliothèque Nationale de France) qui ont généreusement répondu à mes nombreuses questions. Je remercie chaleureusement Alain Naigeon qui a bien voulu mettre ses talents au service de L'Astrée : il a composé et joué ces airs de danse qui ont charmé Honoré d'Urfé. Un grand merci à Henri Coulet (Professeur émérite, Université d'Aix-en-Provence, France) qui m'a aidée à naviguer dans les méandres combinés du langage du XVIe siècle et du langage de l'édition française. Je remercie vivement Sue Reed (Conservateur, MFA, Boston) qui a été le meilleur professeur d'histoire de l'art et le meilleur guide. Toute ma reconnaissance va à Max Vernet (Professeur émérite, Queen's University, Canada) qui a examiné ce site. Sa conscience et ses connaissances m'ont rendu un grand service.
Sans le dévouement et la science extraordinaires de mon frère, Fékri Henein, Deux visages de L'Astrée serait encore en gestation.
Un an après avoir écrit ce qui précède, j'ai le devoir et le plaisir d'ajouter le nom de plusieurs personnes qui m'ont aidée par leurs conseils, leurs commentaires, leurs critiques et leurs suggestions.
À Goutelas, Foréziens et amis du Forez ont su me donner encore plus que je ne leur demandais (et ce n'est pas peu dire !). Je remercie, dans l'ordre alphabétique, Laurent Barnachon, Paul Bouchet, Roger Chazal, Sabine et André Cheramy, Marc Delacroix, Mireille Delmas-Marty, Patricia Faye-Chazal, Reinhard Krüger et ses étudiants, Marie-Claude Mioche, M. et Mme Niedermeyer, Alfred et Christine Noé et Thomas Poiss.
À Paris, mes conversations avec Christine de Buzon, Michel Fournier, Paule et Udo Koch, Tatiana Kozhanov, Marie-Gabrielle Lallemand et Marta Teixeira Anacleto ont été aussi utiles que plaisantes.
Grâce à l'Internet, j'ai eu des échanges fructueux avec Christian Allègre, Étienne Brunet, Arnaud Bunel, Joseph Casazza, Catherine Faivre d'Arcier, Hervé Mondon, Buford Norman, Maxime Préaud, Joseph Salvi et Dominique Tailliez. J'ai aussi bénéficié d'informations fournies par les libraires du « Bateau Livre » à Montpellier, et de la « Librairie Pierre-Josse » à Charcé.
Aux Etats-Unis, Christiane Romero a répondu à mon appel au secours. Charles Dietrick et Mike Lupi ont rendu mon site plus accessible. Nancy Mimno, avec beaucoup de dévouement, m'a aidée à transférer les fichiers vers ma nouvelle adresse.
Tous ceux qui fréquentent Deux visages de L'Astrée et apprécient cette édition hypertextuelle qui jouit d'une structure à niveaux multiples aisée à naviguer vont comprendre sans peine que je réitère ici tous les remerciements que je dois à mon frère, Fékri Henein.
Je voudrais exprimer ma gratitude la plus profonde à plusieurs institutions françaises qui m'ont permis d'être en mesure de réaliser aujourd'hui cette édition d'un roman du XVIIe siècle. Sans remonter à Napoléon et à la fondation d'écoles françaises en Égypte, je reconnais avec plaisir et émotion que je dois beaucoup au Pensionnat du Sacré-Cœur, aux services culturels français du Caire et de Boston, et surtout à la Sorbonne, mon alma mater. Que tous leurs représentants trouvent ici l'expression de mes plus sincères remerciements. Ce que je dois à Jacques Fauve en particulier est incommensurable.
Un grand merci à tous ceux qui m'ont aidée à démêler les nombreux écheveaux que renferme la deuxième partie de L'Astrée. Cette édition critique serait moins complète sans le soutien, les conseils et la générosité de Paul Bouchet, Arnaud Bunel, Joseph Casazza, Jean-François Cottier, Marc Delacroix, Michel De Waele, Giovanni Dotoli, Jacques Elfassi, Henriette Goldwyn, Martin Howard, Pierre Kunstmann, Michel Lemaire, Martial Martin, Jacques Messier, Marie-Claude Mioche, Alfred Noé, Buford Norman, David Russel, Marie-Rose Salloum, David Seipp, Marta Teixeira Anacleto, Bruno Tribout et Karen-Dominique Villiaume. Les commentaires d'Emmanuel Bury, Alexandre Gefen et Françoise Lavocat m'ont été très utiles.
Merci à tous ceux qui m'ont autorisée à inclure ici des images qui se trouvent dans leur site : Francis Boucher, Jacques Leclerc, Nicolas Liger, Valérie Potier.
Merci au personnel de la Bibliothèque municipale de Versailles, et en particulier à Élisabeth Maisonnier et Anne-Bérangère Rothenburger.
Merci au personnel de la Tisch Library, à Tufts University, et en particulier à Chao Chen, AnnMarie Ferraro et Laura Walters.
Merci aux informaticiens : Alyssa Krimsky Clossey, Charles Dietrich, Neal Hirsig, Shawn Maloney, Peter Sanborn et Robert Thomas.
Merci à tous ceux qui m'ont écrit.
Un merci très spécial à Aleksey Svetlichny, habile artisan de la Galerie des portraits.
Merci encore et toujours à Fékri Henein pour son indéfectible soutien. Il fait des prodiges pour que Deux visages de L'Astrée bénéficie de tous les atouts de l'électronique.
J'ai beaucoup de chance. Au fil des années, au fil des recherches, au fil des parties de L'Astrée, j'ai bénéficié d'une aide venue des horizons les plus divers.
Toute ma graditude va aux bibliothécaires et conservateurs qui m'ont prêté leur concours. Rencontrer des spécialistes qui ne considèrent pas les livres comme des pièces de musée et les chercheurs comme des intrus s'est avéré un réconfort et une joie.
Merci à
Thierry Conti (L'Alcazar, Bibliothèque municipale de Marseille), Sally S. Dickinson (Watkinson Library, Trinity College, USA), Annemarie Kaindl (Bayerische Staatsbibliothek, Munich) et Bruno Marty (Centre de Conservation du Livre, Carpentras).
Merci aux bibliothécaires de Tisch Library (Tufts University). Je peux toujours compter sur le support de Chao Chen, d'AnnMarie Ferraro, de Connie Reik, de Laurie Sabol et de Laura Walters.
Ma plus sincère reconnaissance va à ceux qui m'ont transmis les échos du passé conservés aux Archives de l'Ain (Fanny Aznar, Gilles Philibert, Fabienne Silvestre, Valéry Vesson), des Alpes-Maritimes (Hélène Cavalié, M. Coutelier), de l'Ariège (Christine Massat,
Caroline Piquemal,
Jean Cairo,
Martine Patet), de la Savoie (Sylvie Claus, Anne Vacchiero), de Turin (Maria Barbara Bertini, Maria Gattullo), ainsi qu'au Musée Savoisien (Laurence Sadoux-Troncy).
Un merci particulièrement chaleureux à mes amies, Christiane Fabricant et Uta Reese, qui ont généreusement travaillé sur des documents d'archives à Foix.
Toute ma gratitude va aux responsables de librairies et de bibliothèques du livre ancien. Les Bibliothèques Virtuelles Humanistes (Mme le Professeur Demonet et Sandrine Breuil), The Smithsonian Institute (Anne McLean, Elizabeth Aldrich, Virgina Clark, Cynthia Field, Jonathan Kemper), Penn State University (Karen Schwentner), et La Médiathèque de Roanne (Christine Henry, Audrey Mancini). Merci aussi à
Mohamed Graine (Bibliothèque Municipale de Lyon), Christian Pellet
(Presses polytechniques et universitaires romandes, Lausanne), Dale Tatro (Classical Numismatic Group, Inc.), et à la Librairie Le Passe-Temps.
Un grand merci à Lia Poorvu, une collègue et une amie prête à rendre service dans les circonstances les plus inattendues : elle a l'art et la gentillesse de rapprocher les gens.
Je remercie encore et toujours ceux qui me font entendre la voix du Forez et de ses alentours, Laurent Barnachon (Conseil général de la Loire), Joseph Barou (Forez histoire), Sandrine Beal (La Bâtie d'Urfé), Françoise Bourlot (Observatoire de l'eau), Sophie Chauve (Communauté d'Agglomération Loire Forez), Pierre Grès (Fédération de pêche de la Loire), Pierre-Jean Martinez (DREAL Rhône-Alpes), Marie-Claude Mioche (Centre Culturel de Goutelas), et Xavier de Villele (SYMILAV, Savigneux).
Merci à mes collègues pour les conseils et informations généreusement prodigués. Nombreux sont ceux qui doivent trouver ici l'expression de ma profonde reconnaissance : Francis Assaf (University of Georgia), Benoît Bolduc (New York University), William Brooks (University of Bath, U.K.), Fanny Cosandey (École des Hautes Études en Sciences Sociales), Marc Court (Paris-Sorbone, Paris-IV), Dominique Descotes (Université Blaise-Pascal, Clermont-Ferrand), Mark DeVoto (Tufts University), Gérard Ferreyrolles (Paris-Sorbonne), John Fyler (Tufts University), Richard Goodkin (University of Wisconsin-Madison), Nicolas Graner (Université Paris-Sud), Elizabeth T. Howe (Tufts University), Reinhard Krüger (Universität Stuttgart), Bruno Méniel (Université de Rennes 2), Alfred Noé (Universität Wien), Jean-Michel Roessli (Concordia University, Canada), Daniel Russel (University of Pittsburgh), Marc Surgers (Consultant indépendant, Paris), Bruno Tribout (University of Aberdden), et Daniel C. Weiner (Boston University).
Je réitère mes remerciements à de généreux internautes : Jean-Pierre Augier, Jean-Michel Chaumont, Philippe Desterbecq, Jean-Bernard Elzière, Jacky Lorette, Marcel Martinod, Jocelyne Muguet, Jean-Claude Rolland et Pierre Wechter (Scribd). Je ne saurais jamais assez remercier Arnaud Bunel, le savant webmaster d'un site d'Héraldique.
J'ai toujours trouvé le concours dont j'avais besoin auprès de Cécile Créhange, Lois Grossman, Rémy Oppert, Sue Reed (Museum of Fine Arts, Boston), Jean-Pierre Reverseau (Musée de l'Armée, Paris), Emese Soos et Karen Villiaume. Merci mes amis !
Merci à Christian Allègre qui a examiné cette édition critique et électronique et proposé de judicieuses modifications.
Merci à Guy Perron, paléographe, aux traducteurs, Lise Beeotis, Marion Valdoni et Xavier de Saint-Chamas, ainsi qu'à mes réviseurs, Jason Lenicheck et Lucy Fyler.
Merci à ceux qui m'ont écrit ce qu'ils pensent de mon site. Leurs messages entretiennent un zèle qui aurait pu faiblir.
Celui qui ne veut point de reconnaissance,
est l'homme qui mérite toute votre gratitude
Guizot (Article Reconnaissance).
Mon frère, Fékri Henein, ne voulait pas que je le nomme une fois de plus dans ces remerciements. Je dois lui attribuer la place d'honneur qui lui revient. Grâce à lui ce site reste user friendly (le convivial français me semble moins précis). Au nom de tous les amateurs de L'Astrée et en mon nom propre, je voudrais lui rendre grâce en particulier pour l'inestimable Index des noms propres qu'il a réussi à composer ainsi que pour le Guide si détaillé. Ses compétences ont su habilement organiser et embellir l'espace visuel de Deux visages de L'Astrée. Grâce à lui, il est aisé de circuler dans cette édition critique en perpétuelle croissance.
Merci, action de grâces, ex-voto, gratitude, reconnaissance ...
Je suis toujours à la recherche de synonymes pour dire ce que je dois à Étienne Brunet, professeur émérite à l'Université de Nice Sophia Antipolis, lexicologue distingué et « lexicomaître » généreux. Grâce à lui, mon édition de L'Astrée côtoie les plus prestigieuses œuvres de la littérature française dans son Hyperbase.
Je remercie Christine de Buzon (Professeur des Universités) qui m'a suggéré de m'adresser à M. Brunet, et je remercie mon frère qui a remédié à mes carences en mathématiques.
Je saisis cette occasion pour dire aussi mon appréciation à Pierre Arette-Hourquet, Jean-Luc Buathier, Hélène Cavalie, Didier Coste, Pierre Dubreuil, Jean-Baptiste Glodin, David Gullentops, Chris Hill, Masviel Jimdo, Martha Kelehan, Marie-Pierre Mahtey, Pierrot Métrailler, Rémi Mogenet et Peter Simon.
Je réitère mes remerciements à Tufts University, à mon département - devenu le Romance Studies Department - et surtout à son directeur, Pedro A. Palou.
Un grand merci aux bibliothécaires qui animent le Guichet du savoir à la Bibliothèque municipale de Lyon, à Catherine Bernier (Université de Montréal, Bibliothèque des lettres et sciences humaines), à Susan Brady (Tisch Library, Tufts University), à Anna Buck (The Warburg Institute Library), à Thierry Conti (L'Alcazar, Bibliothèque de Marseille), Jonathan Jara (Columbia University Libraries) et à Charles-Eloi Val (Sinbad, BnF).
Un merci spécial à Steve Garrett et Kevin Summers des Services de Technologie de Tufts (TTS).
Merci beaucoup à ceux qui acceptent de répondre à mes questions depuis de longues années :
Christian Allègre, Christine de Buzon, Bruno Marty, Marie-Claude Mioche, Alain Naigeon,
Alfred Noé, Jean-Pierre Reverseau et Karen-Dominique Villiaume.
Merci aussi à Maria Barbara Bertini (Archives de Turin),
Nicolas Delpierre
(Archives de l’Université catholique de Louvain),
Kirsten Dickhaut (Romanische Literaturen I, Universität Stuttgart),
Anne Hoguet (Musée de l'éventail),
Elena Malaspina (Universita Roma 3, Dipartimento di Studi Umanistici),
Lionel Mancier (Médiathèques de Saint-Étienne),
Fabian Mauch (Web administrator, Institute of Literary Studies, Universität Stuttgart),
Konrad Niemira
(University of Warsaw / DESA Unicum Warsaw),
Nolwenn Pavlin (Centre Culturel de Goutelas),
Marie-Lauence Viel (Médiathèque du Mans),
Marcello Vitali-Rosati (Université de Montréal),
Edwige Zanoguera (Médiathèque de Tarentaize).
Un merci spécial à Étienne Brunet, plus « lexicomaître » que jamais.
Merci à tous ceux qui m'ont écrit.
Un grand merci à mon frère, Fékri, qui trouve inlassablement de nouvelles façons d'améliorer ce site.